Avec son nom évocateur, le Trio Bagatelle s’est donné pour mission de servir le répertoire classique, et tout particulièrement le classicisme viennois.

C’est donc tout naturellement que le trio a choisi de consacrer son premier album à Mozart, à travers trois œuvres écrites à Vienne entre juin et octobre 1788 : les trios en mi majeur K.542, en ut majeur K.548 et en sol majeur K.564.

Ces trois pièces, bien que proches dans le temps, possèdent chacune leur caractère : intimiste et amoureux pour le premier, majestueux et brillant pour le second, et empreint de la délicate simplicité mozartienne, avec des accents presque folkloriques pour le dernier.

Composées sur une période très courte, ces œuvres forment un ensemble d’une grande unité stylistique. L’année 1788 fut d’ailleurs particulièrement féconde pour Mozart, qui composa également ses célèbres symphonies n°40 en sol mineur et n°41 dite « Jupiter ».

Si la noblesse du trio en ut majeur et la vivacité festive de celui en sol majeur évoquent Les Noces de Figaro ou Don Giovanni, le trio en mi majeur semble déjà annoncer l’univers expressif de Cosi fan tutte.

Dans notre approche, nous avons souhaité restituer la théâtralité propre à Mozart, tout en conservant l’esprit de conversation amicale qui animait ses moments de musique de chambre. Des échanges musicaux sincères, profonds, à l’image de l’amitié qui unit notre trio.

En guise de salon, le Studio Sequenza de Thomas Vingtrinier nous a ouvert ses portes avec générosité ; il a su capter, en maître des lieuxl’essence de notre complicité musicale, qui traverse tout l’album.

Avec son nom évocateur, le Trio Bagatelle s’est donné pour mission de servir le répertoire classique, et tout particulièrement le classicisme viennois.

C’est donc tout naturellement que le trio a choisi de consacrer son premier album à Mozart, à travers trois œuvres écrites à Vienne entre juin et octobre 1788 : les trios en mi majeur K.542, en ut majeur K.548 et en sol majeur K.564.

Ces trois pièces, bien que proches dans le temps, possèdent chacune leur caractère : intimiste et amoureux pour le premier, majestueux et brillant pour le second, et empreint de la délicate simplicité mozartienne, avec des accents presque folkloriques pour le dernier.

Composées sur une période très courte, ces œuvres forment un ensemble d’une grande unité stylistique. L’année 1788 fut d’ailleurs particulièrement féconde pour Mozart, qui composa également ses célèbres symphonies n°40 en sol mineur et n°41 dite « Jupiter ».

Si la noblesse du trio en ut majeur et la vivacité festive de celui en sol majeur évoquent Les Noces de Figaro ou Don Giovanni, le trio en mi majeur semble déjà annoncer l’univers expressif de Cosi fan tutte.

Dans notre approche, nous avons souhaité restituer la théâtralité propre à Mozart, tout en conservant l’esprit de conversation amicale qui animait ses moments de musique de chambre. Des échanges musicaux sincères, profonds, à l’image de l’amitié qui unit notre trio.