Jérôme Comte, comment vous est venue l’idée de ce disque ?
Pour deux raisons, ce disque est né de ma rencontre avec le pianiste Denis Pascal, avec lequel s’est naturellement très vite installée l’indispensable complicité pour aborder les deux Sonates op. 120 de Brahms, deux chefs d’œuvres incontournables du répertoire de la musique de chambre, mais également aussi de mon envie de tisser un lien entre le passé et l’avenir au tournant du siècle, peut-être par déformation professionnelle due à mon poste de clarinette solo à L’Ensemble Intercontemporain.