Depuis 2001, le Parnasse français est invité à se produire dans plusieurs festivals (Festival de Sablé, Grandes Journées Charpentier en 2004 et Lully en 2008, Automne musical du Centre de Musique Baroque de Versailles, Oudemuziek Utrecht, Festival de Pontoise…). Ses concerts ont fait l’objet d’enregistrement pour la télévision (pour Arte : documentaires Lully l’incommode et Rameau l’incompris magnifique, Maestro sur la musique au temps d’Henri IV), pour le disque (Grands motets de Mondonville et Campra chez MBF) et pour la radio (France Musique, Radio Classique, Radio Suisse Romande…).
Vasco Negreiros est avant tout un chef d’orchestre. Il ne voit pas son travail de composition comme une construction abstraite, mais bien comme une matière première pour les musiciens qui peuvent généreusement s’en inspirer.
Les intérêts de Negreiros dans la composition sont par conséquent basés sur son expérience pratique en tant que musicien, en incluant évidemment un zeste d’improvisation, ce qui produit des œuvres artistiques complètes qui ne sont pas simplement régies par de purs calculs rationnels.
Outre ses études universitaires dans la direction d’orchestre, dans lesquels il a obtenu le niveau de Kappelmeister à la Hochschule de Musique et des Arts de d’Heidelberg-Mannheim (Allemagne), Vasco Negreiros s’est principalement dédié à la musique ancienne du Portugal, d’Espagne, d’Allemagne et du Brésil, ce qui ne l’a pas empêché d’embrasser d’autres styles et périodes.
Il enseigne la Direction d’Orchestre et de Chœur pour les niveaux master à travers différents contrats, à l’Université d’Aveiro, ainsi que dans d’autres régions du Portugal, mais aussi dans différents pays, notamment des cours pendant le Festival de la Musique Ansienne de Daroca (Espagne).
Comme musicologue, essayiste et éditeur, il a travaillé sur les ouvertures composées par Jerónimo Francisco de Lima, qu’il a publié en 2014. À l’époque où il vivait au Brésil, il a sorti un CD intitulé Brasil Barroco, en 1989, lequel contient quelques premières performances contemporaines de la musique coloniale de la région du Minas Gerais.
En tant que compositeur, il a reçu le troisième prix dans la Compétition Internationale de Composition pour les Enfants de Chœur à Varna (Bulgarie). C’est précisément cette volonté de créer et de travailler avec les jeunes générations qui lui a permis de développer sa carrière de compositeur, principalement au Portugal et en Espagne, où la plupart de ses compositions et de ses arrangements ont été enregistrés. Son opéra pour enfants, Les mots dans le ventre [Palavras na Barriga], qui a fait l’ouverture du festival Journées de la Musique [Dias da Música] au Centre Culturel de Belém, 2009- et le conte musical Le Chat Botté, qui est une approche pédagogique de la musique symphonique, où chaque composition a été joué une vingtaine de fois, touchant ainsi plus de sept mille enfants. Le CD de Le Chat Botté a été publié en 2016.
Dans ces dernières années Vasco Negreiros a étudié essentiellement la musique portugaise du 18 ème siècle, publiant en 2015, pour le label français Paraty Productions, le CD “Rabbia, Furor, Dispetto”, chanté par Monika Mauch, avec l’Ensemble Concentus Peninsulae, sous sa direction. C’est un CD monographique contenant l’œuvre opératique de Jerónimo Francisco de Lima, éditant par la même occasion plusieurs partitions de ce compositeur.
Il se consacre aussi à l’étude de la musique du sous-continent Indien, ainsi qu’évidemment à l’apprentissage des langues indiennes. Sa Sonata Hindustani, publiée en 2015, ne devrait être que le premier résultat de son dévouement, d’autres suivront bientôt.
L’ensemble Isabella d’Este a été créé en 1985 par Ariane Maurette. Alors basé à Genève, il a très vite exploré de nombreux répertoires Baroque et Renaissance et s’est produit dans plusieurs pays d’Europe.
Le noyau, composé de violistes et flûtistes, s’est enrichi selon les occasions de chanteurs, luthistes, clavecinistes, violonistes, harpistes, cornettistes…
Trois disques sont nés pendant les dix premières années, « Les Délices », musique française (label Nuova Era), « The image of melancholy », musique anglaise (Symphonia) et « Andrea Falconieri, il primo libro di canzone » (Symphonia, réédité chez Pan Classics et disponible sur internet).
Les années qui ont suivi ont permis à l’ensemble de monter des programmes extrêmement variés et de participer à de nombreux projets en France, en Suisse, en Italie et en Belgique. Le duo du même nom (Ariane Maurette et Caroline Howald) s’est également produit un peu partout en Europe.
L’ensemble, dirigé actuellement par Caroline Howald, a enregistré « Ferveur, Louange et Passion », Musique allemande de la fin du 17e siècle, pour le label Paraty en 2015.
Quels que soient la formation ou les programmes, l’ensemble Isabella d’Este a toujours mis la passion au centre de son travail : le goût du détail et de la précision permet une infinie liberté commune ; le désir d’aller servir, au-delà de l’expressivité, la dimension spirituelle des œuvres, pousse chacun à transcender ses limites, créant ainsi une véritable harmonie au sein de l’ensemble mais aussi avec le public.
Ensemble Alia Mens, Olivier Spilmont
L’ensemble Alia Mens réunit chanteurs et instrumentistes pratiquant les instruments de l’époque baroque autour d’Olivier Spilmont. On a pu l’entendre dans plusieurs festivals et scènes nationales, Opéra de Lille, ”Embaroquement immédiat”, festival de la Chabotterie, festival du Mont-Blanc, Midsummer festival, le Bateau feu-Dunkerque, le Phénix-Valenciennes, Théâtre d’Arras, festival ”Musique et Mémoire”, Teatro de Vicenza, “Bozar” Bruxelles, ”Tage alter Musik” Regensburg…
Depuis 2012, l’ensemble Alia Mens consacre une majeure partie de son travail à l’œuvre de Johann Sebastian Bach et plus particulièrement aux cantates créées à Weimar. On peut aussi régulièrement l’entendre dans les concerti pour plusieurs clavecins avec Pierre Hantaï, Maude Gratton et Olivier Spilmont.
L’ensemble est en résidence pour 3 ans au festival « Musique et Mémoire » depuis l’été 2016. Alia Mens est soutenu par le Conseil Régional des Hauts de France.
Suzana Bartal est un des talents montants de la nouvelle génération. Née en 1986 à Timişoara (Roumanie) dans une famille d’origine hongroise, elle a commencé ses études musicales dans sa ville natale. Elle donne son premier récital solo à l’âge de 12 ans et à 13 ans, son premier concert en soliste avec orchestre. Elle s’installe en France en 2005 où elle étudie avec Denis Pascal, Pierre Pontier et Florent Boffard à Paris et à Lyon au Conservatoire National Supérieur de Musique et de Danse. Entre 2011 et 2014 Suzana se perfectionne auprès de Peter Frankl à l’Université Yale aux Etats-Unis où elle enseigne également en 2013 et 2014. Elle est distinguée par le Prix d’excellence Harriet Gibbs de l’Université Yale.
Suzana a reçu les conseils de nombreuses personnalités musicales qui ont influencé son parcours, comme András Schiff, Leon Fleisher, Paul Lewis, Menahem Pressler, Jean-Claude Pennetier, Matti Raekallio ou encore les Quatuors Ysaÿe, Tokyo et Emerson en musique de chambre. Elle a été sélectionnée plusieurs fois pour le festival International Musician’s Seminar Prussia Cove au Royaume-Uni.
En 2014-2015, ses concerts l’ont menée dans des salles prestigieuses comme le Beethoven-Haus de Bonn, la Salle Pleyel et Radio France à Paris, le Merkin Hall à New York ou Milton Court à Londres et elle a réalisé des enregistrements sur France Musique. La même année, elle a fait une tournée en Allemagne avec l’altiste Mariko Hara dans le cadre de la série “Best of NRW”. Le duo a été enregistré par le West Deutscher Rundfunk. Toujours en 2015, Suzana a fait des débuts remarqués dans le Concerto pour piano de Grieg avec l’Orchestre Avignon-Provence sous la direction de Wolfgang Doerner alors qu’elle remplaçait Marie-Josèphe Jude au pied levé.
En 2013, Suzana Bartal a remporté le concours New York Concert Artists Concerto Competition et a fait ses débuts avec orchestre à New York. Elle a également gagné le Woolsey Concerto Competition, ce qui lui a permis de se produire avec orchestre sous la direction de Peter Oundjian. Lauréate de la prestigieus bourse de la Yamaha Music Foundation of Europe, Suzana a également bénéficié du soutien de la Fondation Nadia et Lili Boulanger, de l’ADAMI et de la Williamson Foundation.
Suzana a un répertoire très vaste, aussi bien en soliste qu’en musique de chambre. Elle se produit notamment avec les violonistes Alexandra Soumm et Guillaume Sutre, la soprano Karen Vourc’h, le violoncelliste Yan Levionnois, le clarinettiste Pierre Genisson et des musiciens de l’Orchestre Philharmonique de Radio France (David Haroutunian et Pauline Bartissol) et de l’Orchestre de Paris (Anne-Sophie Le Rol et Eric Picard), entre autres.
Suzana est aussi une interprète enthousiaste de la musique contemporaine et a collaboré avec d’illustres compositeurs, tels Thomas Adès et Eric Tanguy.
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Né dans une famille d’artistes à la double culture franco-sud-américaine, Carl-Emmanuel Fisbach développe une réflexion sur le répertoire de son instrument. Outre le répertoire traditionnel qu’il interprète en soliste (avec l’Orchestre d’Auvergne, l’Orchestre Philharmonique d’Ekaterinbourg…) et en formation de musique de chambre (Duo Denisov, Duo Azar), il est membre du réseau Futurs composés et collabore avec nombreux compositeurs (Yokoi, Bonilla, Matsumiya…) et ensembles (Ensemble intercontemporain, Red Note Ensemble) pour la promotion du saxophone. Carl-Emmanuel Fisbach nourrit ses interprétations par la pratique de la transcription ; la quête de ses origines le conduit aussi vers le tango. L’ouverture de sa démarche lui vaut de se produire dans de nombreux festivals internationaux (Flâneries musicales de Reims, Festival Archipel de Genève, saison du Shanghai Oriental Arts Center, le Suntory Hall à Tokyo…). Professeur titulaire au Conservatoire du Calaisis et professeur invité au Conservatoire de Lima, il donne des cours publics en Europe, en Amérique du Sud et en Asie. Diplômé du Conservatoire de Paris, il a remporté plusieurs concours nationaux et internationaux. Son premier CD est consacré au répertoire hispanique (Duo Azar, PAI Records, 2011), le second à des créations pour saxophone et violoncelle (Duo Denisov, Fondation Meyer, 2014).
Le multi-percussionniste autrichien David Christopher Panzl commence sa formation musicale à l’âge de quatre ans. Il donne son premier récital solo à 13 ans avec l’Orchestre Philharmonique de Bad Reichenhall. Dans sa jeunesse, il visite New York à plusieurs reprises afin d’y étudier le jazz. Panzl déménage à Vienne pour terminer ses études de percussion avec Anton Mittermayr à l’Université privée de Vienne, où il obtient son Master d’Arts avec félicitations en 2013. Il étudie ensuite le marimba avec Keiko Abe à l’Université Toho Gakuen de Tokyo. Il est actuellement Professeur Assistant à l’Université de Musique et des Arts de Vienne et donne des masterclasses dans le monde entier. Il est également membre du jury de plusieurs concours internationaux. En tant que soliste, Panzl s’est produit au Suntory Hall de Tokyo, au Séoul Art Center, au Vienna Konzerthaus et à la cérémonie d’ouverture du Festival de Salzbourg. Il a collaboré avec des artistes exceptionnels tels que Keiko Abe, Nebojsa Zivkovic, Jeff Reine et des orchestres tels que le Sarajevo Philharmonic, le Bad Reichenhall Philharmonic, le German Chamber Orchestra-Berlin.
Ni calculée ni préméditée, la singularité du Quatuor Tana repose sur leur répertoire, indéniablement original et résolument contemporain. D’une seule voix, ses musiciens imposent quatre volontés et quatre énergies attachées aux traditions du quatuor mais également fermement décidés à en élargir le cadre pour aller chercher dans la création contemporaine une expression personnelle. Leur insatiable curiosité musicale leur fait explorer les multiples facettes, styles et richesses des partitions créées par des compositeurs vivants qu’ils proposent lors de leurs concerts où le grand répertoire et les chefs-d’oeuvre de demain fraternisent sans complexe.
Leurs activités au service de la création ont été largement récompensés : Prix Fuga décerné par l’Union des Compositeurs Belges en 2012, Octave de la Musique en 2013 dans la catégorie Musique contemporaine, lauréat de la Fondation Proquartet-CEMC et de la Verbier Festival Academy Chamber Music et, plus récemment, Prix HSBC 2013 de l’Académie Européenne de Musique du Festival d’Aix en Provence.
Le quatuor Tana se produit dans les grands festivals et meilleures salles du monde entier parmi lesquels La Philharmonie de Paris, les festivals d’Aix-en-Provence, Berlioz, MUSICA à Strasbourg, La Folle Journée, Saint-Denis, Albi, IRCAM/Manifeste, Musiques du GMEM, Controtempo, Verbier, Ars Musica, Klara, Darmstadt, Faithful à Berlin, Vale of Glamorgan, Girona, San Sebastian, Mostra Sonora/Valencia, Auditorium du Louvre, Villa Médicis à Rome, Pharos Foundation à Chypre, Wigmore Hall, Conway Hall, Festival Vale of Glamorgan, Chypre, BOZAR, Auditorium de Dijon, Abbaye de Royaumont… En 2015/2016, il fera ses débuts à la Philharmonie de Paris et Concertgebouw de Bruges avec la création du 3ème quatuor de Yann Robin et donnera la première autrichienne du nouveau quatuor, Aracne, d’Hector Parra à la Konzerthaus de Vienne (créations à Paris, Barcelone (Palau de la Musica) et Londres).
Le Quatuor a suivi l’enseignement de maîtres reconnus tels Alfred Brendel, Gabor Takacs, ainsi que David Alberman, Andrés Keller,au sein de l’Académie d’Aix en Provence 2011. Dans le cadre des formations ProQuartet, il a rencontré, depuis 2005, Paul Katz, Walter Levin,Eberhard Feltz, Alasdair Tait, Nicholas Kirchen, Louis Fima et Natalia Prishepenko.
En 2001, un collectif de musiciens lyonnais à l’esprit aventureux fonde la compagnie Le Piano Ambulant pour jouer la musique classique « ailleurs et autrement ».
Ces musiciens cherchent à donner un nouvel éclairage à des œuvres du répertoire par le biais d’un travail de transcription et d’écriture scénique et théâtrale. Ce goût du «hors piste» les amène, au gré des œuvres travaillées, à faire appel à diverses expressions artistiques et à explorer des territoires nouveaux.
C’est ainsi que la compagnie mêle cinéma, théâtre, ombres chinoises… Debussy peut alors croiser l’art vidéo, Stravinsky la fête foraine et Wagner les musiques amplifiées.
Le Piano Ambulant est une structure collégiale où chaque musicien intervient sur les adaptations musicales et l’écriture théâtrale et apporte sa sensibilité aux différents projets.
En parallèle à une diffusion dans les réseaux classiques, Le Piano Ambulant s’ingénie par ailleurs depuis ses débuts à aller là où on ne l’attend pas. Grâce à des spectacles autonomes techniquement, la compagnie joue volontiers le jeu des lieux les plus improbables.
Créations de la compagnie
2004 : La boîte à joujoux d’après Debussy, pour quatre musiciens et un caméraman.
2006 : Nouvelles de guerre d’après Ullmann et Rilke, mélodrame en images.
2007 : Petrouchka d’après Stravinsky, fantaisie foraine.
2008 : Séance ciné-concert surréaliste.
2009 : Ailleurs théâtre musical sur des poèmes de Michaux.
2010 : Háry János d’après Kodály, opéra de poche à jouer dans les cafés.
2012 : Sur le Ring puis Comment Siegfried tua le dragon etc. d’après Wagner.
2014 : Galimatias ! d’après Chostakovitch, pour cinq musiciens-ouvriers et un contremaître.
Stefanie Troffaes – flûte traversière
Stefanie Troffaes est née à Bruges en 1980. Dans sa ville natale, elle suit des cours de flûte traversière avec Patrick Beuckels et de flûte à bec avec Tomma Wessel. Stefanie poursuit ses études au Conservatoire royal de Bruxelles sous la direction de Marc Hantaï, Barthold Kuijken et Frank Theuns pour la flûte traversière et de Bart Coen pour la flûte à bec. En plus de son Master, obtenu avec grande distinction, elle décroche le prestigieux prix Köberle. Elle participe ensuite aux masterclasses de Daniël Brüggen, Karl Keiser et Wilbert Hazelzet.
En 2002, Stefanie est finaliste du concours international Musica Antiqua Brugge pour solistes et en 2015, elle est nommée pour le prix Klara du public dans la catégorie Espoir 2014 pour sa carrière très prometteuse.
Elle se produit en concert en tant que musicienne freelance avec des ensembles de renommée internationale tels que Les Talens Lyriques, B’Rock, Le Concert d’Astrée, Collegium Vocale, Les Muffatti, Insula Orchestra et Bach Concentus.
Stefanie a collaboré à plusieurs enregistrements pour les labels Alpha, Musica Ficta, Naïve, Archiv Productions, Aparté, Challenge, Opus Arte, Palazzetto Bru Zane et Virgin.
Julien Wolfs – clavecin
Julien Wolfs est né en Jodoigne en 1983. Il suit ses premières leçons de clavecin avec sa mère, Marie-Anne Dachy. Il étudie ensuite au Conservatoire d’Amsterdam, où il obtient son Master sous la direction de Menno Van Delft. Il poursuit ses études au Conservatoire National Supérieur de Lyon, où il est placé sous la houlette de Françoise Lengellé et de Dirk Börner. Il y décroche un nouveau Master en musique de chambre. L’IMEP de Namur lui décerne plus tard son troisième Master en pédagogie.
En 2007, Julien Wolfs est lauréat du concours international Musica Antiqua Brugge pour clavecin. Outre son deuxième prix ex aequo, il reçoit le Prix du public et le prix Éditions Minkoff.
Julien est le cofondateur de l’ensemble Les Timbres, couronné du premier prix du concours Musica Antiqua Brugge en 2009, ainsi que du Prix spécial de la meilleure interprétation d’une création contemporaine. Leur premier CD, Les Pièces de Clavecin en Concerts de Jean-Philippe Rameau, sera récompensé d’un Diapason d’Or en 2014.
Julien s’est produit lors de festivals de premier plan en Europe et au Japon, principalement en soliste ou en musique de chambre avec les ensembles et les artistes suivants : Les Timbres, Ricercar Consort, Philippe Pierlot, Lingua Franca, Benoît Laurent et For two to play. Julien Wolfs a pris part à plusieurs enregistrements pour les labels Ricercar, Ligia Digital, Flora et Mirare.
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