Débutant très jeune le piano, Maxence Pilchen a été primé dès l’âge de onze ans au concours télévisé des jeunes solistes de la RTBF de Bruxelles. Il continue ses études musicales auprès de grandes personnalités, Bernard Ringeissen, Janusz Olejniczack, et bénéficie particulièrement aux États-Unis de l’enseignement du pianiste Byron Janis dont il se sent très proche et avec qui il a joué à New York en 2015. En 2010, il a d’ailleurs présenté la création européenne du film The Byron Janis Story. Son vaste répertoire pour piano seul et pour piano avec orchestre le mène de Bach à Rachmaninov, de Mozart à Debussy, de Beethoven à Prokofiev, sans oublier la musique contemporaine, tandis que sa longue réflexion le conduit à approfondir sa conception de l’œuvre de Chopin avec lequel il nourrit une étroite relation et auquel il consacre son premier CD. Titulaire du Prix Maurice Lefranc de Bruxelles récompensant les jeunes espoirs, lauréat de plusieurs concours internationaux – Porto, Barcelone, Rome, Épinal -, ce jeune pianiste franco-belge salué par la critique internationale et sollicité tant en France qu’à l’étranger, se produit aux côtés des meilleurs orchestres, tels l’Orchestre national de Belgique, l’Orchestre philharmonique de Liège, l’Orchestre Philharmonique de Cedar Rapids, ou l’Orchestre national de Porto, sous la direction de chefs prestigieux, dans les plus grandes salles comme le Mozarteum de Salzbourg, le Théâtre de la Monnaie et le Palais des Beaux-Arts à Bruxelles, la Philharmonie de Varsovie, la salle Gaveau à Paris. Les concerts de Maxence Pilchen ont également été diffusés dans des médias français et étrangers, jusqu’aux États-Unis et en Asie. Il a aussi participé en 2012 à un long métrage de Philippe Claudel, Avant l’hiver. Ouvert à toutes les musiques, ses goûts variés l’ont rendu populaire auprès de festivals réputés, notamment le Festival Chopin de Nohant où il est régulièrement invité depuis 2004. Maxence Pilchen a aussi travaillé sur des pianos anciens du XIXe siècle : il a exploré la subtilité de leurs nuances et la richesse de leurs couleurs pour les développer par la suite sur des instruments modernes. Il est soutenu par la Fondation Safran dont il a été Lauréat en 2014.
He was born in Paris on the 12th March 1987. He was a young child when he comes to Portugal and at nine years old he starts studying classical guitar at the Conservatório Regional do Algarve.
While continuing his studies, he also attended several workshops, lectures and classes in the musical field both in Portugal and abroad under the supervision of the most renown interpreters and composers for guitar, namely, Master Classes with Roland Dyens, Leo Brouwer, Sergio and Odair Assad, Alberto Ponce, among others.
In 2006 he enters in the Escola Superior de Música de Lisboa where he gets the degree in Music, in the Fingering Strings Performing Variant (Guitar), finishing the course with a performance as a soloist guitar player for the Concert nr. 6 by Leo Brouwer, accompanied by a strings orchestra from the Escola Superior de Música de Lisboa.
In 2009 enters in the Universidad de Extremadura and , in a protocol with this institution, he attends classes at the distinguished Luthier Paulino Barnabé’s home, in Madrid, where he gets his master’s degree in the course “Classical Guitar and Musical Interpretation”, under the supervision of the Spanish master Ricardo Gállen.
Nowadays he is a teacher at the AMEC/Metropolitana in Lisbon.
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Récompensée par plusieurs Premiers Prix, Natalia Valentin a étudié au CRR de Paris puis au CNSM de Paris dans les classes de Billy Eidi, Patrick Cohen, Pierre Cazes et Kenneth Weiss. Auprès de Susan Alexander-Max et Arthur Schoonderwoerd, elle entreprend de se perfectionner.
Une série de plus de trente concerts en Europe et en Amériques en partenariat avec le Pallazetto Bru-Zane, Centre de Musique Romantique Française à Venise lui apporte le succès. Invitée en musique de chambre et en tant que soliste auprès des orchestres du Sistema au Venezuela, son pays d’origine et dans de prestigieux festivals en France, Espagne, Italie, Suisse, Venezuela, Mexique, Bahamas, Brésil et USA, sa carrière artistique est le reflet de son charisme.
Natalia Valentin participe notamment aux festivités de l’année Chopin à la Philharmonie de Paris (Cité de la Musique) en réalisant des récitals sur le Pianoforte Broadwood que Chopin joua pendant sa dernière tournée en Angleterre.
Passionnée par l’interprétation sur instruments historiques, Natalia Valentin cherche à transmettre les techniques et les modes de jeu du pianoforte, suivant les traités, les méthodes d’enseignements et les témoignages de l’époque classique, à travers une pédagogie moderne et dynamique. Elle excelle comme interprète mais aussi comme pédagogue. Son enseignement du pianoforte est basé sur des recherches musicologiques, sur l’évolution de la facture de l’instrument et sur l’interaction entre compositeurs et constructeur ; un parcours fascinant qui ouvre des possibilités de jeux et de couleurs qui peuvent être intégrés à la technique de piano moderne.
Professeur de pianoforte et piano, les conservatoires de Bobigny et de Vigneux sur Seine l’ont accueillie au sein de leurs équipes pédagogiques. Fréquemment invitée au sein de grandes Universités en Amérique du Sud, elle est également professeur assistant à l’Accademia Europea delle Tastiere Storiche de la Villa Bossi en Italie. Natalia Valentin vient d’intégrer l’équipe pédagogique du le Conservatoire du 10ème arrondissement de Paris
Enregistré sous le label Paraty, le premier disque de Natalia Valentin dédié aux Rondos et Bagatelles de Ludwig van Beethoven a été salué par la presse spécialisée et a obtenu entre autres récompenses 5 Diapasons, TOP 5 de l’année dans le magazine Fanfare aux USA et a reçu le CLIC de Classiquenews.
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Nicolas Stavy se produit sur de prestigieuses scènes internationales telles que le Festival de la Roque d’Anthéron, Festival piano aux Jacobins, Salle Pleyel, EuroArt Praha Festival, Festival « Fex » de Grenade, Klavier Ruhr Festival, Casals Hall de Tokyo, Athenaeum de Bucarest, Victoria Hall de Genève, Hong-Kong Academy for Performing Arts, 92nd Street Y of New York… Et en soliste avec de grandes formations telles que l’Orchestre de la Suisse Romande, l’Orchestre Philharmonique de Bucarest, l’Orchestre National de Lille, l’Orchestre de la Garde Républicaine …
Il se produit en musique de chambre avec des personnalités musicales telles que Patrick Messina, Tatjana Vassiljeva, Daniel Hope, Cédric Tiberghien, Tedi Papavrami, Karine Deshayes, le Quatuor Ébène… Il participe également à des projets en compagnie de comédiens tels que Robin Renucci, Didier Sandre, Brigitte Fossey, Eric-Emmanuel Schmitt.
1er Prix de piano et de musique de chambre dans la classe de Gérard Frémy au Conservatoire National Supérieur de Musique de Paris, il s’est perfectionné auprès de Dominique Merlet au Conservatoire de Genève où un 1er Prix avec distinction lui a été décerné. Nicolas Stavy qui a profité des conseils de Gyorgy Sebök et d’Alfred Brendel, est lauréat de plusieurs concours internationaux : Prix Spécial au Concours Chopin à Varsovie en 2000, Deuxième Prix au Concours International de Genève en 2001, Quatrième Prix au Concours Gina Bachauer aux États-Unis en 2002, Deuxième Prix du Young Concert Artists de New York en 2003…
Ses deux derniers disques parus chez Hortus consacrés à Brahms et à Liszt ont été salués par **** Classica et tous deux par FFFF Télérama.
En 2015 sont sortis deux nouveaux disques : en janvier sous le label Hortus, les concertos pour main gauche de Britten et de Korngold avec l’orchestre national de Lille dirigé par Paul Polivnick. Les sonates n°7 et 8 de Boris Tishchenko avec le percussionniste Jean-Claude Gengembre viennent tout juste de sortir sous le label Bis et viennent d’obtenir la récompense Maestro de la revue pianiste.
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Lorsqu’il quitte Paris pour retourner s’installer à Buenos Aires en 1955, Astor Piazzolla est résolu à « sortir le tango de la monotonie dans laquelle il s’était embourbé », en bouleversant ses codes et ses traditions par la création d’une musique nouvelle. Il s’entoure des musiciens parmi les plus emblématiques du genre (A. Stampone, L. Federico, E. Francini…) pour créer l’« Octeto Buenos Aires », formation éphémère (1955-1958) qui marquera profondément la musique de Buenos Aires et qui restera comme l’une de tentatives les plus avant-gardiste du compositeur. Malgré l’originalité de la proposition, la virtuosité des interprètes et l’écriture flamboyante, le projet ne reçoit pas l’écho espéré auprès du public et des connaisseurs, ce qui conduira Piazzolla à l’abandonner et à détruire l’intégralité des partions de cet immense répertoire.
Par un important travail de recherche et de réécriture, Octetology parvient à reconstituer ce répertoire perdu, jamais recréé depuis sa disparition il y a plus de 60 ans
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Patrick Bismuth envisage la pratique de son instrument dans la continuité et la diversité de son histoire : l’improvisation, la musique populaire, ou les musiques tziganes font autant partie de son univers et de sa vie de musicien que la tradition occidentale et, en particulier, le violon baroque, dont il est spécialiste.
Cet itinéraire le conduit à interpréter autrement les répertoires classique, romantique et contemporain.
Professeur de violon baroque au Conservatoire National Supérieur de Musique de Paris de 1993 à 1998, il enseigne actuellement cette discipline aux CRR de Versailles et de Paris.
Il fonde et dirige l’Ensemble La Tempesta et joue souvent avec Louis Thiry, James Bowman ou Gérard Lesne. et est également le co-fondateur du Quatuor Atlantis sur instruments originaux.
Il compose plusieurs pièces pour Violon (Unnuami, 2001) et pour diverses formations (Takannaaluk, pièce de théâtre musical en cours d’écriture sur un livret original en langue inuit).
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Né en France dans une famille de musiciens, Pierre Lenert a eu comme premier maître son propre père, Jean Lenert. Il entre à 16 ans au Conservatoire National Supérieur de Musique de Paris dans les classes de Michèle Auclair au violon et de Colette Lequien à l’alto. Il étudie ensuite auprès de Yuri Bashmet en France et avec Hatto Beyerle en Allemagne.
Sa rencontre avec Yehudi Menuhin sera déterminante : sous sa direction, il va interpréter Harold en Italie de Berlioz et le Concerto de Bartok, et devenir soliste de sa Fondation. Pierre Lenert est également Lauréat de la Fondation Philipp Morris, ainsi que de grands concours internationaux : Lionel Tertis (Ile de Mann, Royaume-Uni), Markneukirchen (Allemagne), Maurice Vieux (France).
« Avec Pierre Lenert, la musique monte d’un ton grâce à une interprétation splendide de la part de l’altiste français, sûr, lyrique et capable de doter son phrasé d’une perfection continue. » (El Periodico, Barcelone). Sa carrière internationale de chambriste s’ouvre avec le Festival Marlboro (USA), où il joue aux côtés de ses illustres aînés, Rudolf Serkin, Paul Tortelier, David Soyer et Isidor Cohen. Depuis, il a été l’invité des prestigieux Festivals de Kuhmo (Finlande), G. Enesco (Bucarest), aux BBC Proms Chamber Music (Londres), aux Schubertiades (Autriche), etc. Ses partenaires sont Joshua Bell, Martin Frost, Radovan Vlatkovitch, Augustin Dumay, Isabelle Faust, Hervé Joulain, Viktoria Mullova, Alexandre Tharaud, Cédric Tiberghien, Patrick Messina, Jeff Cohen, Eliane Reyes, Alissa Margulis, Alban Gerhardt, Marie Hallynck, etc. Il est membre du JB Vuillaume String Trio depuis 2005.
« Soliste au talent fou et à la virtuosité sans faille » (Georges Masson, Le Républicain Lorrain), Pierre Lenert est invité dans le monde à jouer en soliste : Chine (Pékin), Japon (Tokyo, Nagasaki, Fukuoka), Taiwan, Russie (Moscou), Ukraine (Kiev), Hongrie (Budapest), Roumanie (Bucarest), Allemagne (Sarrebruck), Royaume-Uni (Londres), Italie (Bologne), Belgique (Bruxelles), France ( Paris, Lille, Metz, Strasbourg ) accompagné de remarquables orchestres tels que l’Orchestre de l’Opéra National de Paris, l’Orchestre de la Radio Hongroise, l’Orchestre Philarmonique de Sofia, le Kyushu Symphony Orchestra, l’Orchestre de la Camerata d’Athènes, l’Orchestre du Gran Teatro del Liceo, etc., et sous des directions prestigieuses, telles celles de Armin Jordan, Myung Wung Chung, James Conlon, Philippe De Chalendar, Frédéric Chaslin, Edmond Colomer, Jacques Mercier, Fumiaki Miyamoto, Augustin Dumay, etc.
Passionné très tôt par le répertoire lyrique, Pierre Lenert est, depuis ses 19 ans, Premier Alto Super Soliste de l’Orchestre de l’Opéra National de Paris.
Pierre Lenert est encore Directeur Artistique du Festival International de Musique de Chambre « Sérénade » ainsi que du Festival « Le Goût de la Musique ».
En outre, Pierre Lenert accorde une grande importance à la musique d’aujourd’hui. La création de partitions nouvelles lui tient à cœur. Il est dédicataire des œuvres de Michiru Oshima (Concerto pour alto « Voix de la Vie »), Edison Denisov, Thierry Pecou, Graciane Finzi, Marc Bleuse, Antoine Duhamel, Ian Wilson.
Au disque, « son sens naturel du Bel Canto, sa superbe maîtrise instrumentale et la luminosité de ses timbres donnent à chaque pièce charme et éclat… Avec un style élégant, plein de fantaisie et de bonne humeur » (Diapason), sa discographie comporte l’intégrale de l’œuvre pour alto et piano de Henry Vieuxtemps, ainsi que plusieurs disques récital consacrés à la musique de Carl Reinecke, Niccolo Paganini, Félix Mendelssohn, Georges Enesco, Jean Françaix, et Darius Milhaud.
Pierre Lenert joue actuellement le magnifique alto de Jean-Baptiste Vuillaume de 1865, « Comte Cheremetièv ».
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L’Orchestre Philharmonique du Qatar
En mars 2009 au Théâtre des Champs Elysées, l’Orchestre Philharmonique du Qatar se produisait pour la première fois à Paris, quelques semaines après s’être produit à Washington. Un orchestre tout neuf, créé deux ans auparavant, sous le patronage d’un grand chef internationalement célèbre, Lorin Maazel. Un projet culturel de longue haleine, qui s’inscrit dans le développement culturel qatari, cherchant à œuvrer en faveur de l’éducation de la jeunesse à travers la musique.
Jean-Charles Gandrille, compositeur
2015 est une belle année pour Jean-Charles Gandrille. Le Festival d’Auvers-sur-Oise en a fait son compositeur invité. Il faut dire qu’il connaît bien cette ville chère aux peintres impressionnistes : il est le titulaire de l’orgue de l’Eglise Notre Dame. Lors de ce Festival, une dizaine de concerts ont mis ses œuvres au programme. Une sorte de consécration pour cet organiste improvisateur et compositeur. Dans la plupart de ses compositions, il garde toujours une place privilégiée à l’orgue, que ce soit dans ses œuvres avec violon, trompette ou (plus inattendu) vibraphone et même accordéon, comme dans ses œuvres religieuses, dont son récent « Stabat Mater ».
Amoureux des musiques françaises, Jean-Charles Gandrille le dit lui-même : « Vers dix ou onze ans, j’ai découvert la composition ; j’ai ressenti une fascination pour l’orchestre. J’ai dévoré les partitions de Ravel et Debussy, le traité d’orchestration de Charles Koechlin. Olivier Messiaen, Henri Dutilleux ont aussi beaucoup compté, puis celui qui a été mon maître pendant un temps très bref mais intense, Jean-Louis Florentz. Et à quinze ans, je me suis lancé dans ma première orchestration – en autodidacte : le “ Boléro ” pour orgue et percussion de Pierre Cochereau ».
La mécanique était lancée : une « Symphonie médiévale » pour orchestre avec ondes Martenot, suivie d’un concerto pour piano et orchestre, « Voyage dans l’indicible ». Et c’est le concours d’admission dans la classe d’orchestration du Conservatoire à Rayonnement Régional de Paris, en 1998. Deux ans plus tard, à dix-huit ans, il est premier prix d’orchestration à l’unanimité, avec félicitations du jury. Ensuite, ce fut la classe d’orchestration du Conservatoire National Supérieur de Musique et de Danse de Paris. Dans les deux cas, il était le plus jeune élève, et sort primé du CNSMDP en 2003. Dès lors, la voix est libre vers la composition.
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Constitué au sein d’une grande fratrie, le Quatuor Girard est né d’une passion commune révélée par la pratique très précoce de la musique de chambre en famille.
Formé par les membres du Quatuor Ysaÿe, au Conservatoire de Paris puis dans la classe de Miguel da Silva à la HEM de Genève, le Quatuor Girard reçoit en parallèle les riches enseignements proposés par l’European Chamber Music Academy, l’Académie musicale de Villecroze, Musique à Flaine, Proquartet, l’Académie du festival d’Aix-en-Provence, et ne tarde pas à se faire remarquer au cours de grandes compétitions internationales.
Lauréat du Concours de Genève en 2011, le quatuor a remporté en 2010 le Prix Académie Maurice Ravel à Saint-Jean-de-Luz, devient par la suite lauréat de la Fondation Banque Populaire puis lauréat HSBC de l’Académie du Festival d’Aix-en-Provence.
Invités de salles et de festivals prestigieux en France –Auditorium du Musée d’Orsay, Théâtre du Châtelet, La Folle Journée de Nantes, Soirées et Matinées musicales d’Arles, le festival de Deauville, la Grange de Meslay…– le quatuor est également demandé à l’étranger notamment en Suisse, en Italie, en Belgique, au Maroc, en Russie, au Japon… Il partage régulièrement la scène avec d’autres musiciens tels que Jean-Claude Pennetier, Henri Demarquette, Raphaël Pidoux, François Salque, Gérard Caussé, Ronald Van Spaendonck…
Il est actuellement en résidence à la Chapelle Royale Reine Elisabeth de Belgique, bénéficiant ainsi d’échanges privilégiés avec le Quatuor Artemis. En tant qu’« artistes associés », il entretient également des liens étroits avec la Fondation Singer-Polignac.
Ses passages réguliers sur France Musique, Radio classique et Musiq’3 lui permettent de faire partager à un large public des projets musicaux qui lui tiennent particulièrement à coeur. Il associe ses activités concertistes à un effort constant de diffusion en direction de tous les publics. A ce titre, il noue régulièrement des partenariats avec des écoles primaires, collèges, lycées et conservatoires.
L’intégrale des quatuors de Beethoven donnée à l’Auditorium de Caen entre mai 2015 et janvier 2018 restera pour le Quatuor Girard une aventure marquante et déterminante pour la suite de sa vie artistique.
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Fondé en 1986, par quatre musiciens issus des institutions internationales les plus réputées (Julliard School de New-York, Conservatoire de Genève, CNSM de Paris), le Quatuor Manfred remporte dès 1989 les deux concours les plus prestigieux ouverts aux jeunes quatuors: le concours de Banff (Canada), où pour la première fois un quatuor européen remporte le 1er Prix, et le concours d’Évian, avec le 1er grand Prix.
Ainsi reconnu au plus haut niveau, le Quatuor Manfred collabore avec de nombreux artistes de renom dont Mstislav Rostropovich, Yuri Bashmet, Jan Talich, Anne Queffélec, Jean-Claude Pennetier, Claire Désert, Nicolas Bône, Raphaël Oleg, Florent Héau, Pascal Moraguès, Paul Meyer, Romain Guyot, Raphaël Pidoux, Marc Coppey, Manuel Fischer-Dieskau, Xavier Phillips, Jean-Paul Fouchécourt, Pierre-Yves Pruvot…
Depuis sa création, le Quatuor Manfred est constitué de Marie Béreau (violon 1), Luigi Vecchioni (violon 2) et Christian Wolff (violoncelle), rejoints en 2008 par Emmanuel Haratyk (alto). Ensemble, ils développent de nouveaux projets et s’ouvrent à de nouvelles esthétiques, comme en témoignent les disques Bach/Coltrane (Zig-Zag Territoire 2008) et Heavens (Harmonia Mundi 2013) enregistrés avec le saxophoniste jazz Raphaël Imbert et la Compagnie Nine Spirit, ou encore son nouveau programme Bye Bye Berlin, inspirés de musiques des années 30, du classique au cabaret en passant par la musique de film, qui sera enregistré à l’automne 2016 avec la chanteuse Marion Rampal et Raphaël Imbert (sortie septembre 2017 – Harmonia Mundi).
En résidence à Dijon, le Quatuor Manfred a créé sa propre saison de musique de chambre au cours de laquelle il invite le public à découvrir les intégrales de grands compositeurs (Haydn, Beethoven, Schubert, Mozart et Jadin) et un volet moins connu de l’histoire de la musique, avec un répertoire français, abordé dans le cadre d’une collaboration avec le Palazzetto Bru Zane – Centre de musique romantique française de Venise. En 2016/2017, le Quatuor Manfred célèbrera son trentième anniversaire avec une saison entièrement dédiée à Schumann, Brahms, Tchaïkovski, compositeurs qui ont inspiré le Quatuor lorsqu’il a choisi son nom.
Pour cet anniversaire, le Quatuor Manfred ajoutera à sa discographie riche et saluée par la critique, un enregistrement du Quatuor opus 41 n°1 de Schumann et du Quatuor n°2 opus 22 de Tchaïkovski (sortie mai 2017 – Ed. Paraty – Distr. Harmonia Mundi).
Désireux de transmettre sa passion et son expérience, le Quatuor Manfred organise des masterclass à l’occasion de ses concerts en France et à l’étranger, ainsi qu’un stage de musique de chambre au cours de son festival musical et patrimonial Musiques en voûtes.
Le Quatuor Manfred reçoit le soutien de l’État – Ministère de la Culture et de la Communication – Direction régionale des affaires culturelles de Bourgogne-Franche-Comté, au titre des ensembles musicaux et vocaux conventionnés.
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