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Bruno Procopio

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Patrick Bismuth

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Patrick Bismuth envisage la pratique de son instrument dans la continuité et la diversité de son histoire : l’improvisation, la musique populaire, ou les musiques tziganes font autant partie de son univers et de sa vie de musicien que la tradition occidentale et, en particulier, le violon baroque, dont il est spécialiste.

Cet itinéraire le conduit à interpréter autrement les répertoires classique, romantique et contemporain.

Professeur de violon baroque au Conservatoire National Supérieur de Musique de Paris de 1993 à 1998, il enseigne actuellement cette discipline aux CRR de Versailles et de Paris.

Il fonde et dirige l’Ensemble La Tempesta et joue souvent avec Louis Thiry, James Bowman ou Gérard Lesne. et est également le co-fondateur du Quatuor Atlantis sur instruments originaux.

Il compose plusieurs pièces pour Violon (Unnuami, 2001) et pour diverses formations (Takannaaluk, pièce de théâtre musical en cours d’écriture sur un livret original en langue inuit).

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Ensemble et Chœur L’Échelle

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L’échelle est un merveilleux outil qui accompagne l’Homme dans sa traversée des siècles.

Indispensable au navigateur, qui l’assure nœud par nœud sur une corde, l’échelle est présente partout sur les vaisseaux qui donnent naissance aux premières hégémonies économiques et marchandes internationales.

L’échelle tisse ses mailles le long des mats, des voiles, des carènes, et, sur les pilotis des pontons provisoires à fleur d’eau, aide à l’échange du contenu des cales.

Ainsi, à la Renaissance, quelques cités portuaires d’Orient et d’Asie portent le beau nom d’Échelles avant de devenir les comptoirs exotiques des Indes.

Dans le même temps, ce mot d’échelle désigne tout ce qui s’étage, se mesure, grimpe, situe, propose d’atteindre, d’équilibrer et de progresser : ainsi l’échelle de Jacob, les échelles de valeurs, les échelles chromatiques, et les multiples échelles musicales. Toujours indispensable à l’Homme d’aujourd’hui, elle lui permet de structurer sa biodiversité sociale et culturelle.

La direction artistique du Chœur l’Échelle, assurée par Caroline Marçot et Charles Barbier, propose une saison de chefs invités à faire travailler l’ensemble chacun dans leur répertoire de prédilection.

A mi-chemin entre l’ensemble vocal et le chœur de chambre, Le Chœur l’Échelle trouve sa voie personnelle entre musique historique et musique improvisée. En fonction du style, chaque chanteur investi est capable d’être soliste, et désireux de mettre l’étendue de ses possibilités et toute sa tessiture au service du répertoire interprété.

En marge des productions à grand effectif, se développent plusieurs programmes a capella, nécessaires à l’expression des qualités virtuoses du chœur. Ainsi, pour commencer, une Missa grande de Marcos Portugal, en collaboration avec Bruno Procopio, continuiste de renom et spécialiste des répertoires baroques brésilien et portugais au Brésil. Ce programme, donné deux fois en concert en 2011 aux Invalides à Paris, sera enregistré « live » pour le label Paraty lors du festival de Cuenca en 2012.

Suit un programme italien du XXème siècle, paroles gelées, mettant à l’honneur Luigi Dallapiccola, Bruno Maderna, Luigi Nono, Goffredo Petrassi et Giacinto Scelsi.

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Juliana Steinbach

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Née au Brésil en 1979, Juliana Steinbach a entamé ses études musicales en France. Après ses premières années de formation au Conservatoire de Lyon (CNR) et auprès de la pianiste américaine Christine Paraschos, elle a étudié au Conservatoire de Paris (CNSM) dans les classes de Bruno Rigutto et Pierre-Laurent Aimard ; elle y a obtenu les Premiers Prix de piano et musique de chambre et a été admise en 2002 à l’unanimité en Troisième Cycle de piano dans la classe de Jacques Rouvier, remportant à cette occasion le Prix de la Fondation Alfred Reinhold, un piano à queue Blüthner.

Juliana Steinbach a été l’élève de Franco Scala au sein de l’Académie Internationale de Piano d’Imola (Italie), de Maria João Pires dans sa résidence de Belgais (Portugal) et de Pnina Salzman à Tel-Aviv (Israël). Elle a reçu lors de diverses masterclasses les conseils de Dmitri Bashkirov, Emanuel Krasovsky, Alicia de Larrocha, Christoph Eschenbach. En mai 2007 elle a obtenu le Graduate Diploma de la Juilliard School de New York, après un cycle de perfectionnement effectué auprès du pianiste Joseph Kalichstein et des membres du Juilliard String Quartet.

Lauréate des Fondations Cziffra, Meyer, Natexis Groupe Banques Populaires, Alfred Reinhold et Umberto Micheli, Juliana Steinbach a été récompensée lors de plusieurs concours : le Concours International Artlivre à São Paulo (Brésil, 2001), les Rencontres Internationales de Tel-Hai (Israël, 2000 et 2001) et le Concours International de Jeunes Pianistes à Meknès (Maroc, 1996). En France, elle a reçu le Prix Flame, la Bourse Musicale du Zonta International, le Grand Prix et le Prix Spécial du Forum Musical de Normandie.

Passionnée de musique de chambre, elle a remporté en 2002 le Premier Prix du prestigieux “Premio Vittorio Gui” à Florence (Italie) et en 2005 le Prix Beethoven du Concours International de Musique de Chambre “Trio de Trieste” (Italie), en duo avec le violoncelliste Guillaume Martigné. Elle joue régulièrement aux côtés de brillants musiciens, comme les violonistes Marina Chiche, Amaury Coeytaux, Stéphanie-Marie Degand, Ivry Gitlis, Saténik Khourdoian, Nemanja Radulovic, Svetlin Roussev, Sayaka Shoji et Ayako Tanaka, les violoncellistes Eric-Maria Couturier, Sol Gabetta, Pavel Gomziakov et Béatrice Reibel, les flûtistes Sarah Louvion, Jaime Martin et Virginie Reibel, les clarinettistes Jérôme Comte et Tibi Cziger, le fagottiste Klaus Thunemann, le pianiste Jonas Vitaud, ainsi que les quatuors à cordes Accord, Bennewitz, Kuss, Psophos et Sine Nomine.
Très intéressée par la musique contemporaine, elle participe régulièrement à diverses créations et a collaboré avec les compositeurs Jean-Louis Agobet, Yves Chauris, Guillaume Connesson, Thierry Escaich, Balázs Horváth, Fabio Nieder, Matan Daniel Porat et François Sarhan. En 2010, le festival Aspects des Musiques d’Aujourd’hui à Caen lui a confié l’exécution de Chryptophonos de Philippe Manoury et des Structures de Pierre Boulez.

Juliana Steinbach s’est produite en soliste avec l’Orchestre Philharmonique de Nice, l’Orchestre Symphonique et Lyrique de Paris, l’Orchestre des Lauréats du Conservatoire, l’Orchestre des Jeunes de Fribourg, le Rundfunk Blasorchester de Leipzig, l’Orchestre Symphonique Mav de Budapest, l’Orchestre Symphonique d’Israël, collaborant avec des chefs comme Sergio Monterisi, Michael Cousteau, François-Xavier Roth, Théophanis Kapsopoulos, Jan Cober, László Kovács et Mendi Rodan.

En récital ou en musique de chambre, elle se produit à Paris (Auditorium du Louvre, Cité de la Musique, Maison de la Radio, Amphithéâtre Bastille, Opéra Garnier, Théâtre Mogador, Théâtre Marigny, Athénée Théâtre Louis- Jouvet), dans diverses séries françaises (Salle Molière à Lyon, Esplanade à Saint-Etienne, Opéra de Nantes), sur de grandes scènes européennes (Gewandhaus de Leipzig, Musikhalle de Hambourg, Gasteig de Münich, Académie Franz Liszt de Budapest, Rudolfinum de Prague, Teatro della Pergola et Teatro Comunale de Florence, Teatro São Luis de Lisbonne) et dans de prestigieux festivals (Périgord Noir en France, Salzburg en Autriche, Bologna Festival et Lago Maggiore en Italie, Santander en Espagne, Farsund en Norvège). Elle a joué dans des salles comme le Museum de Tel-Aviv, le Lincoln Center de New York, le Rozsa Center de Calgary, la Sala Cecilia Mereiles de Rio de Janeiro, le Teatro Colón de Buenos Aires, ainsi que dans plusieurs capitales d’Asie : Séoul, Manille, Bangkok, Hong-Kong et Tokyo (Casals Hall).
Depuis 2005, Juliana Steinbach est la fondatrice et directrice artistique du festival “Musique en Brionnais” qui attire chaque été une audience internationale dans les églises romanes de la Bourgogne du Sud. En 2009/2010, elle s’est vu offrir une carte blanche pour la première “Saison Blüthner” en France, huit concerts de piano et musique de chambre à Paris et Lyon.

Son album “Tableaux”, publié par Paraty au printemps 2010, réunit des oeuvres pour piano de Debussy (Estampes, Isle Joyeuse) et Moussorgski (Tableaux d’une Exposition). Sa discographie comprend également cinq enregistrements de musique de chambre (oeuvres de Schumann, Brahms, Franck, Ravel, Chostakovitch et Messiaen), produits entre 2001 et 2009 en France et en Allemagne.

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Knut Jacques

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Après des études de piano et de pianoforte au CNR-CSP, puis au CNSMD de Paris, où il obtient trois diplômes de formation supérieure, il se perfectionne auprès de Denis Pascal et Ruben Lifschitz (piano moderne) et Bart Von Oort (pianoforte) au Conservatoire Royal de La Haye dont il est également diplômé.

Son parcours musical lui permet d’approfondir le travail avec des personnalités musicales telles que Paul Badura-Skoda, Malcolm Bilson, Eric Hoeprich, Alessandro Moccia, Kenneth Weiss.

Il se produit couramment en solo ou en musique de chambre en France et à l’étranger (Japon, Autriche, Espagne, Inde, Italie, Pays-Bas). Régulièrement invité des festivals, il participe notamment au Festival International de Kyoto (Japon), aux Académies Musicales de Saintes, au Festival « les chants de la Dore »… Il part fréquemment en tournées, notamment comme soliste de concertos au pianoforte, récitals solo ou avec l’Orchestre des Champs-Elysées (en formation de musique de chambre). Il est musicien-conférencier au Musée de la Musique à Paris.

Knut Jacques est titulaire du CA de professeur de piano. Il est actuellement professeur de piano et de pianoforte dans les conservatoires de Paris. Il est également professeur associé au Pôle Supérieur d’Etudes Musicales de Bourgogne.

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Wim Winters

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Wim Winters naît en 1972  à Lommel, Belgique. Il commence ses études musicales en 1984 et se présente un an après au prestigieux et très disputé Concours International pour Amateurs de la ville de Boxtel aux Pays-Bas. Âgé de treize ans seulement, il remporte le Premier Prix de ce concours, ce qui le décide à poursuivre une carrière professionnelle.

En 1990, Wim Winters intègre le Conservatoire Sweelinck à Amsterdam où il suit l’enseignement de Jacques van Oortmerssen (orgue) et Willem Brons (piano). Ses études sont couronnées en 1998 par les plus hautes distinctions : deux Premiers Prix «Teaching and Performing Musician ».

Durant sa formation Wim Winters travaille aussi avec Jean Boyer, Hans van Nieuwkoop, Hans Davidsson et Harald Vogel.

En 1994, il reçoit le Premier Prix du Concours d’Orgue pour Étudiants (Studenten Orgelconcours) de Leiden aux Pays-Bas, dans les catégories Baroque et Romantique, puis entre 1997 et 1999, il obtient le Troisième Prix du Concours International « Musiqua Antiqua Brugges », « L’Europe et l’Orgue » de Maastricht et « Schnitger » à Alkmaar. Wim Wnters, s’est produit dans différents festivals d’orgue en France, en Allemagne, en Hollande, en Espagne et en Belgique.

Wim Winters collabore à divers projets de restauration d’orgues historiques en Flandre, et, avide d’explorer d’autres claviers, il dédie une part importante de son travail d’interprétation au clavicorde. Depuis 2008, il réalise des concerts autour de l’œuvre de la famille Bach, de Mozart, Haydn et Beethoven sur un clavicorde à 5 octaves non lié, construit par le fameux facteur Belge Joris Potvlieghe.

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Ensemble Turicum

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Fondé en 1992 par le chanteur brésilien Luiz Alves da Silva et le violoniste suisse Mathias Weibel, l’Ensemble TURICUM se consacre à la pratique de la musique ancienne sur instruments d’époque. Avec une formation allant de 5 à 30 musiciens et musiciennes environ, la sonorité de l’Ensemble peut être très diverse mais le son qui le caractérise reste toujours reconnaissable. Il se démarque par la fraîcheur de ses interprétations mais aussi par la particularité de ses programmes, incluant des œuvres méconnues qui sont rendues au public d’une manière vivante et originale.

L’Ensemble TURICUM met en valeur le vaste répertoire musical de la péninsule ibérique et de l’Amérique du Sud. Ses programmes s’étalent du 18e au début du 19e siècle et incluent particulièrement des compositeurs brésiliens tels José Mauricio Nunes Garcia, Manuel de Oliveira, Marcos Portugal, Antonio dos Santos Cunha. La musique italienne et germanique sont également représentées.

Avide de pluridisciplinarité, l’Ensemble réunit musique classique, chants populaires et littérature. Dans ce contexte, une étroite collaboration a été établie avec le célèbre écrivain suisse Hugo Lötscher, spécialiste du Brésil et du Portugal.

Outre une riche programmation de concerts à Zurich, l’Ensemble TURICUM a participé à des festivals internationaux tels : Schlosskonzerte Thun, Festival für Sakrale Musik Schwäbisch Gmünd, Friedenauer Kammerkonzerte Berlin, Musica Antiqua Musikverein Wien, Les Chemins du Baroque (Sarrebourg et Paris), Expo02 Yverdon, Année du Brésil en France 2005 (Paris, Nîmes et Alençon), Festival de Santa Cruz de la Sierra (Bolivie), Festival de Inverno Ouro Preto (Brésil), Música nas Igrejas (Rio de Janeiro), Kammermusikverein (Ettelbruck et Luxemburg).

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Arnaud van de Cauter

Arnaud Van de Cauter

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Arnaud van de Cauter

Professeur d’orgue au Conservatoire Royal de Musique de Liège, d’Harmonie Pratique et de Formation Corporelle au Conservatoire Royal de Musique de Mons et organiste titulaire des orgues de l’église Notre-Dame au Sablon, Arnaud Van de Cauter a étudié en Belgique (H. Schoonbroodt – Conservatoire Royal de Musique de Bruxelles), en France (Jean Boyer – CNR Lille) et en Allemagne (Harald Vogel – Noorddeutsche Orgelakademie).
Régulièrement invité à se produire en Belgique et à l’étranger, il est directeur artistique du Festival Voce et Organo (église Notre-Dame de la Chapelle – Bruxelles) et a réalisé plusieurs enregistrements salués par la presse internationale.
Formé en Feldenkrais auprès de Jean Grauwels (Waterloo) et en Somatic Experiencing®, à Zurich (Peter Levine – Polarity Bildungszentrum), il a créé l’ « Intégration Corporelle à l’Instrument » (I.C.I ), approche sensible de la pratique artistique basée sur le développement d’un rapport organique corps/instrument (www.echo-art.be).

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Cyril Huvé

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Cyril Huvé

À l’aube de sa carrière, Cyril Huvé hésite encore : Poursuivra-t-il ses études de philosophie où se consacrera-t-il à la musique ?
L’année où il prépare l’Ecole Normale Supérieure, il est admis au Conservatoire National Supérieur de Musique. Parallèlement aux enseignements qu’il y reçoit, il fréquente assidûment l’université et se forge une personnalité qui s’exprimera dans son approche ultérieure de la musique, qu’il finit par choisir.
C’est alors qu’il travaille avec Claudio Arrau. Au gré de ses séjours en Europe, le pianiste chilien lui transmettra un héritage que peu auront la chance de recevoir et verra en lui «un de ses meilleurs continuateurs».

Puis il forge des projets dont l’utopie n’a d’égal que le succès qu’ils remportent : 
Encore étudiant au Conservatoire, il imagine, à la demande de Louis Dandrel, une émission d’archives sur France-Musique, intitulée Vieilles Cires : il crée ainsi un vocable qui fera fortune, et relance l’intérêt porté aux interprétations historiques. C’est dans cet esprit que, plus tard, il enseigne au Conservatoire National supérieur de Musique de Paris, où, assistant de Gérard Frémy, il transmet aux jeunes générations le legs qu’il a reçu, ces traditions qui s’opposent de toute leur vigueur aux habitudes. Il crée et anime les Rencontres d’Arc-et-Senans, puis les Rencontres de Cluny, manifestations qui associent le travail des professionnels en musique de chambre à une pédagogie ouverte au grand public ; elles attirent alors des interprètes qui se reconnaissent dans cet esprit : Maurice Bourgue, Martha Argerich, Michel Portal, le Quatuor Talich, Irvine Arditti, Jean-Pierre Drouet… 
Aujourd’hui, il poursuit cette tâche dans le Berry avec le projet de musique de chambre Musiciens Ensemble Mi-Temps Classic’ à Châteauroux et à la Grange aux Pianos de Chassignolles pour le festival Pentecôte en Berry.

Ces travaux débouchent naturellement sur un autre dilemme : ne serait-il pas plus juste d’interpréter les œuvres du répertoire sur les instruments pour lesquels elles furent composées ? Il ne tranche pas et choisit une voix médiane : devenu expert du pianoforte, il joue des instruments à cinq octaves de la fin du XVIII° siècle, d’autres à mécanique viennoise du début du XIX° siècle, des pianos Erard, et retrouve sur le Steinway moderne, grâce à eux, la texture originale des œuvres. Il passe d’un instrument à l’autre avec une aisance remarquable, comme l’atteste sa discographie.

En tant que soliste, Cyril Huvé s’est illustré en jouant notamment avec la Staatskapelle de Dresde, l’Orchestre Philharmonique de Liège, The Orchestra of the Age of Enlightement sous la direction de Sir Roger Norrington, et il a souvent été choisi pour interpréter des œuvres rarement jouées, telles que les Djinns de César Franck, la Symphonie cévenole de Vincent d’Indy, Mon lac de Witkowsky…
Il est l’invité de nombreux festivals (La Chaise-Dieu, Festival Berlioz de La Côte-Saint-André, Festival de Radio France et Montpellier, Rencontres internationales Chopin de Nohant, Saint-Lizier, Festival Musica de Strasbourg, Ars Musica de Bruxelles), et joue en Allemagne, en Angleterre et aux États-Unis.
Il apporte sa contribution à quelques textes théoriques, traduit et préface les Chemins vers la nouvelle musique d’Anton Webern (J.-C. Lattès, avec Didier Alluard) ou dialogue avec Pierre Bourdieu (Questions de sociologie, éditions de Minuit).

Discrètement, avec opiniâtreté et rigueur, il poursuit son travail, et vient d’enregistrer les Mélodrames romantiques avec le comédien Daniel Mesguich, son partenaire depuis de nombreuses années.

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Nicolas Stavy

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Nicolas Stavy se produit sur de prestigieuses scènes internationales telles que le Festival de la Roque d’Anthéron, Festival piano aux Jacobins, Salle Pleyel, EuroArt Praha Festival, Festival « Fex » de Grenade, Klavier Ruhr Festival, Casals Hall de Tokyo, Athenaeum de Bucarest, Victoria Hall de Genève, Hong-Kong Academy for Performing Arts, 92nd Street Y of New York… Et en soliste avec de grandes formations telles que l’Orchestre de la Suisse Romande, l’Orchestre Philharmonique de Bucarest, l’Orchestre National de Lille, l’Orchestre de la Garde Républicaine …

Il se produit en musique de chambre avec des personnalités musicales telles que Patrick Messina, Tatjana Vassiljeva, Daniel Hope, Cédric Tiberghien, Tedi Papavrami, Karine Deshayes, le Quatuor Ébène… Il participe également à des projets en compagnie de comédiens tels que Robin Renucci, Didier Sandre, Brigitte Fossey, Eric-Emmanuel Schmitt.

1er Prix de piano et de musique de chambre dans la classe de Gérard Frémy au Conservatoire National Supérieur de Musique de Paris, il s’est perfectionné auprès de Dominique Merlet au Conservatoire de Genève où un 1er Prix avec distinction lui a été décerné. Nicolas Stavy qui a profité des conseils de Gyorgy Sebök et d’Alfred Brendel, est lauréat de plusieurs concours internationaux : Prix Spécial au Concours Chopin à Varsovie en 2000, Deuxième Prix au Concours International de Genève en 2001, Quatrième Prix au Concours Gina Bachauer aux États-Unis en 2002, Deuxième Prix du Young Concert Artists de New York en 2003…

Ses deux derniers disques parus chez Hortus consacrés à Brahms et à Liszt ont été salués par **** Classica et tous deux par FFFF Télérama.

En 2015 sont sortis deux nouveaux disques : en janvier sous le label Hortus, les concertos pour main gauche de Britten et de Korngold avec l’orchestre national de Lille dirigé par Paul Polivnick. Les sonates n°7 et 8 de Boris Tishchenko avec le percussionniste Jean-Claude Gengembre viennent tout juste de sortir sous le label Bis et viennent d’obtenir la récompense Maestro de la revue pianiste.

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Ivan Ilić

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Le pianiste Ivan Ilić a étudié à l’Université de Berkeley en Californie, où il a remporté un Premier Prix de piano ainsi qu’un Bachelor’s Degree en mathématiques. Grâce à une bourse, il a poursuivi ses études au Conservatoire Supérieur de Paris en 2001 et a obtenu un Premier Prix de piano. Son premier enregistrement a été soutenu par la Ville de Paris.

Ivan Ilić a publié trois disques chez Paraty : 24 Préludes de Claude Debussy (2008), 22 Etudes d’après Chopin de Leopold Godowsky (2012), et For Bunita Marcus de Morton Feldman (2015). Ses albums sont invariablement parmi les plus en vue et les plus diffusés du label.

Ces dernières années, Ivan Ilić a élargi son approche pour nourrir sa curiosité intellectuelle. En 2011 il a joué dans deux courts métrages français : Les Mains de Luc Plissonneau (le rôle principal) et Le Berger de Benoît Maire (le rôle de la réincarnation de Glenn Gould). Il a commencé à écrire sur la musique ; ses articles sont publiés chez Gramophone, BBC Music Magazine, et Music & Literature. Depuis 2014 il collabore avec la radio suisse RTS sur plusieurs séries radiophoniques.

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